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la passerelle du trekkie
23 décembre 2007

xwcvxc

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U
La vieille façade de l' immeuble dont la peinture craquelée et marbrée comme des copeaux de bois qui déchus de leur position initiales s' amoncelaient au sol et sur lesquels le poids des passants faisaient craquer comme de simples corn-flaxes sous la dent, impose sa stature comme une armée de millions d' hommes que rien ne semblait pouvoir vaincre, pas même le temps qui passait ni un climat sans cesse changeant.<br /> Immeuble parisien aux huit étages vers la cime desquels lorsque plongeaient les regards, donnait un vertige étourdissant, autour de lui, le monde s' affairait, les hommes en costume-cravate couraient vers un but connu d' eux seuls, le ciel se parait tantôt d' un manteau gris noir aux éclairs menaçants, tantôt d' un bleu étincelant qu' un soleil rendait difficile à fixer du regard sans l' apport de lunettes aux verres sombres. Le trottoir lui, était jonché de détritus et l' eau pourtant si active ces derniers temps n' arrivait même pas à nettoyer cet espace restreint, ce garde-fou ou l' homme devait se débattre pour avancer à pas réguliers dans une faune sans cesse grandissante. Ici un petit commerce à la devanture flamboyante, faite de dizaines de luminaires, vantant des promotions que l' absence d' aucun autre marchant ne venait de toute manière concurrencer, là une femme prête à donner de sa personne contre quelques subsides, une dilettante qui n' avait d' autre choix que de s' offrir aux autres si elle voulait espérer dormir chaque jour sous un toit en dur et remplir son assiette midi et soir.<br /> <br /> L' immeuble lui continuait à vivre à son rythme et à l' heure qu' il était, alors que le ciel s' était habillé de son noir manteau de nuit aux étoiles scintillantes,à l' intérieur on s' affairait chacun à sa manière. La concierge dont les volets fermés et abîmés du rez de chaussée laissaient deviner une lumière tamisée, avait depuis longtemps enfermé ses fenêtres derrières des barreaux verts et épais s' assurant ainsi de ne pas rentrer un jour dans un appartement dévasté par les mains d' individus malhonnêtes venus chercher dans son intimité de quoi se remplir les poches. Sur la porte d' entrée, placé à coté de la sonnette et engoncé derrière une fine plaquette de plastique jaunâtre, son nom trahissait ses origines portugaises. Si l' on appuyait son oreille contre la porte de bois verni, on pouvait entendre un petit poste de radio aux basses fuyantes diffuser chez elle de vieux standard usés par tant et tant de passages à la radio et à la télévision.<br /> <br /> La particularité de cet appartement était qu' il était le seul de l' immeuble à ne pas avoir de voisin en face de lui. C' était un escalier à la rambarde lustrée que la concierge pouvait voir si par curiosité elle jetait un oeil par le judas et auquel les luminaires muraux donnaient un charme tout particulier, celui des vieux immeubles cossus de la capitale et qui malgré des décennies d' existence ne semblent pas vouloir plier sous les années. Une rambarde que Madame Perez, la concierge, se donnait du mal chaque jour à maintenir en l' état tout comme les tapis de sol qu 'elle nettoyait avec amour sans oublier bien sûr les nombreuses marches qui menaient jusqu'au paradis et qui, malgré sa bonne volonté finissaient par craquer, irrémédiablement, ce qui conférait à l' ensemble un cachet que d' aucun aurait pu juger de séduisant...
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La vieille façade de l' immeuble dont la peinture craquelée et marbrée comme des copeaux de bois qui déchus de leur position initiales s' amoncelaient au sol et sur lesquels le poids des passants faisaient craquer comme de simples corn-flaxes sous la dent, impose sa stature comme une armée de millions d' hommes que rien ne semblait pouvoir vaincre, pas même le temps qui passait ni un climat sans cesse changeant.<br /> Immeuble parisien aux huit étages vers la cime desquels lorsque plongeaient les regards, donnait un vertige étourdissant, autour de lui, le monde s' affairait, les hommes en costume-cravate couraient vers un but connu d' eux seuls, le ciel se parait tantôt d' un manteau gris noir aux éclairs menaçants, tantôt d' un bleu étincelant qu' un soleil rendait difficile à fixer du regard sans l' apport de lunettes aux verres sombres. Le trottoir lui, était jonché de détritus et l' eau pourtant si active ces derniers temps n' arrivait même pas à nettoyer cet espace restreint, ce garde-fou ou l' homme devait se débattre pour avancer à pas réguliers dans une faune sans cesse grandissante. Ici un petit commerce à la devanture flamboyante, faite de dizaines de luminaires, vantant des promotions que l' absence d' aucun autre marchant ne venait de toute manière concurrencer, là une femme prête à donner de sa personne contre quelques subsides, une dilettante qui n' avait d' autre choix que de s' offrir aux autres si elle voulait espérer dormir chaque jour sous un toit en dur et remplir son assiette midi et soir.<br /> <br /> L' immeuble lui continuait à vivre à son rythme et à l' heure qu' il était, alors que le ciel s' était habillé de son noir manteau de nuit aux étoiles scintillantes,à l' intérieur on s' affairait chacun à sa manière. La concierge dont les volets fermés et abîmés du rez de chaussée laissaient deviner une lumière tamisée, avait depuis longtemps enfermé ses fenêtres derrières des barreaux verts et épais s' assurant ainsi de ne pas rentrer un jour dans un appartement dévasté par les mains d' individus malhonnêtes venus chercher dans son intimité de quoi se remplir les poches. Sur la porte d' entrée, placé à coté de la sonnette et engoncé derrière une fine plaquette de plastique jaunâtre, son nom trahissait ses origines portugaises. Si l' on appuyait son oreille contre la porte de bois verni, on pouvait entendre un petit poste de radio aux basses fuyantes diffuser chez elle de vieux standard usés par tant et tant de passages à la radio et à la télévision.<br /> <br /> La particularité de cet appartement était qu' il était le seul de l' immeuble à ne pas avoir de voisin en face de lui. C' était un escalier à la rambarde lustrée que la concierge pouvait voir si par curiosité elle jetait un oeil par le judas et auquel les luminaires muraux donnaient un charme tout particulier, celui des vieux immeubles cossus de la capitale et qui malgré des décennies d' existence ne semblent pas vouloir plier sous les années. Une rambarde que Madame Perez, la concierge, se donnait du mal chaque jour à maintenir en l' état tout comme les tapis de sol qu 'elle nettoyait avec amour sans oublier bien sûr les nombreuses marches qui menaient jusqu'au paradis et qui, malgré sa bonne volonté finissaient par craquer, irrémédiablement, ce qui conférait à l' ensemble un cachet que d' aucun aurait pu juger de séduisant...
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La vieille façade de l' immeuble dont la peinture craquelée et marbrée comme des copeaux de bois qui déchus de leur position initiales s' amoncelaient au sol et sur lesquels le poids des passants faisaient craquer comme de simples corn-flaxes sous la dent, impose sa stature comme une armée de millions d' hommes que rien ne semblait pouvoir vaincre, pas même le temps qui passait ni un climat sans cesse changeant.<br /> Immeuble parisien aux huit étages vers la cime desquels lorsque plongeaient les regards, donnait un vertige étourdissant, autour de lui, le monde s' affairait, les hommes en costume-cravate couraient vers un but connu d' eux seuls, le ciel se parait tantôt d' un manteau gris noir aux éclairs menaçants, tantôt d' un bleu étincelant qu' un soleil rendait difficile à fixer du regard sans l' apport de lunettes aux verres sombres. Le trottoir lui, était jonché de détritus et l' eau pourtant si active ces derniers temps n' arrivait même pas à nettoyer cet espace restreint, ce garde-fou ou l' homme devait se débattre pour avancer à pas réguliers dans une faune sans cesse grandissante. Ici un petit commerce à la devanture flamboyante, faite de dizaines de luminaires, vantant des promotions que l' absence d' aucun autre marchant ne venait de toute manière concurrencer, là une femme prête à donner de sa personne contre quelques subsides, une dilettante qui n' avait d' autre choix que de s' offrir aux autres si elle voulait espérer dormir chaque jour sous un toit en dur et remplir son assiette midi et soir.<br /> <br /> L' immeuble lui continuait à vivre à son rythme et à l' heure qu' il était, alors que le ciel s' était habillé de son noir manteau de nuit aux étoiles scintillantes,à l' intérieur on s' affairait chacun à sa manière. La concierge dont les volets fermés et abîmés du rez de chaussée laissaient deviner une lumière tamisée, avait depuis longtemps enfermé ses fenêtres derrières des barreaux verts et épais s' assurant ainsi de ne pas rentrer un jour dans un appartement dévasté par les mains d' individus malhonnêtes venus chercher dans son intimité de quoi se remplir les poches. Sur la porte d' entrée, placé à coté de la sonnette et engoncé derrière une fine plaquette de plastique jaunâtre, son nom trahissait ses origines portugaises. Si l' on appuyait son oreille contre la porte de bois verni, on pouvait entendre un petit poste de radio aux basses fuyantes diffuser chez elle de vieux standard usés par tant et tant de passages à la radio et à la télévision.<br /> <br /> La particularité de cet appartement était qu' il était le seul de l' immeuble à ne pas avoir de voisin en face de lui. C' était un escalier à la rambarde lustrée que la concierge pouvait voir si par curiosité elle jetait un oeil par le judas et auquel les luminaires muraux donnaient un charme tout particulier, celui des vieux immeubles cossus de la capitale et qui malgré des décennies d' existence ne semblent pas vouloir plier sous les années. Une rambarde que Madame Perez, la concierge, se donnait du mal chaque jour à maintenir en l' état tout comme les tapis de sol qu 'elle nettoyait avec amour sans oublier bien sûr les nombreuses marches qui menaient jusqu'au paradis et qui, malgré sa bonne volonté finissaient par craquer, irrémédiablement, ce qui conférait à l' ensemble un cachet que d' aucun aurait pu juger de séduisant...
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La vieille façade de l' immeuble dont la peinture craquelée et marbrée comme des copeaux de bois qui déchus de leur position initiales s' amoncelaient au sol et sur lesquels le poids des passants faisaient craquer comme de simples corn-flaxes sous la dent, impose sa stature comme une armée de millions d' hommes que rien ne semblait pouvoir vaincre, pas même le temps qui passait ni un climat sans cesse changeant.<br /> Immeuble parisien aux huit étages vers la cime desquels lorsque plongeaient les regards, donnait un vertige étourdissant, autour de lui, le monde s' affairait, les hommes en costume-cravate couraient vers un but connu d' eux seuls, le ciel se parait tantôt d' un manteau gris noir aux éclairs menaçants, tantôt d' un bleu étincelant qu' un soleil rendait difficile à fixer du regard sans l' apport de lunettes aux verres sombres. Le trottoir lui, était jonché de détritus et l' eau pourtant si active ces derniers temps n' arrivait même pas à nettoyer cet espace restreint, ce garde-fou ou l' homme devait se débattre pour avancer à pas réguliers dans une faune sans cesse grandissante. Ici un petit commerce à la devanture flamboyante, faite de dizaines de luminaires, vantant des promotions que l' absence d' aucun autre marchant ne venait de toute manière concurrencer, là une femme prête à donner de sa personne contre quelques subsides, une dilettante qui n' avait d' autre choix que de s' offrir aux autres si elle voulait espérer dormir chaque jour sous un toit en dur et remplir son assiette midi et soir.<br /> <br /> L' immeuble lui continuait à vivre à son rythme et à l' heure qu' il était, alors que le ciel s' était habillé de son noir manteau de nuit aux étoiles scintillantes,à l' intérieur on s' affairait chacun à sa manière. La concierge dont les volets fermés et abîmés du rez de chaussée laissaient deviner une lumière tamisée, avait depuis longtemps enfermé ses fenêtres derrières des barreaux verts et épais s' assurant ainsi de ne pas rentrer un jour dans un appartement dévasté par les mains d' individus malhonnêtes venus chercher dans son intimité de quoi se remplir les poches. Sur la porte d' entrée, placé à coté de la sonnette et engoncé derrière une fine plaquette de plastique jaunâtre, son nom trahissait ses origines portugaises. Si l' on appuyait son oreille contre la porte de bois verni, on pouvait entendre un petit poste de radio aux basses fuyantes diffuser chez elle de vieux standard usés par tant et tant de passages à la radio et à la télévision.<br /> <br /> La particularité de cet appartement était qu' il était le seul de l' immeuble à ne pas avoir de voisin en face de lui. C' était un escalier à la rambarde lustrée que la concierge pouvait voir si par curiosité elle jetait un oeil par le judas et auquel les luminaires muraux donnaient un charme tout particulier, celui des vieux immeubles cossus de la capitale et qui malgré des décennies d' existence ne semblent pas vouloir plier sous les années. Une rambarde que Madame Perez, la concierge, se donnait du mal chaque jour à maintenir en l' état tout comme les tapis de sol qu 'elle nettoyait avec amour sans oublier bien sûr les nombreuses marches qui menaient jusqu'au paradis et qui, malgré sa bonne volonté finissaient par craquer, irrémédiablement, ce qui conférait à l' ensemble un cachet que d' aucun aurait pu juger de séduisant...
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La vieille façade de l' immeuble dont la peinture craquelée et marbrée comme des copeaux de bois qui déchus de leur position initiales s' amoncelaient au sol et sur lesquels le poids des passants faisaient craquer comme de simples corn-flaxes sous la dent, impose sa stature comme une armée de millions d' hommes que rien ne semblait pouvoir vaincre, pas même le temps qui passait ni un climat sans cesse changeant.<br /> Immeuble parisien aux huit étages vers la cime desquels lorsque plongeaient les regards, donnait un vertige étourdissant, autour de lui, le monde s' affairait, les hommes en costume-cravate couraient vers un but connu d' eux seuls, le ciel se parait tantôt d' un manteau gris noir aux éclairs menaçants, tantôt d' un bleu étincelant qu' un soleil rendait difficile à fixer du regard sans l' apport de lunettes aux verres sombres. Le trottoir lui, était jonché de détritus et l' eau pourtant si active ces derniers temps n' arrivait même pas à nettoyer cet espace restreint, ce garde-fou ou l' homme devait se débattre pour avancer à pas réguliers dans une faune sans cesse grandissante. Ici un petit commerce à la devanture flamboyante, faite de dizaines de luminaires, vantant des promotions que l' absence d' aucun autre marchant ne venait de toute manière concurrencer, là une femme prête à donner de sa personne contre quelques subsides, une dilettante qui n' avait d' autre choix que de s' offrir aux autres si elle voulait espérer dormir chaque jour sous un toit en dur et remplir son assiette midi et soir.<br /> <br /> L' immeuble lui continuait à vivre à son rythme et à l' heure qu' il était, alors que le ciel s' était habillé de son noir manteau de nuit aux étoiles scintillantes,à l' intérieur on s' affairait chacun à sa manière. La concierge dont les volets fermés et abîmés du rez de chaussée laissaient deviner une lumière tamisée, avait depuis longtemps enfermé ses fenêtres derrières des barreaux verts et épais s' assurant ainsi de ne pas rentrer un jour dans un appartement dévasté par les mains d' individus malhonnêtes venus chercher dans son intimité de quoi se remplir les poches. Sur la porte d' entrée, placé à coté de la sonnette et engoncé derrière une fine plaquette de plastique jaunâtre, son nom trahissait ses origines portugaises. Si l' on appuyait son oreille contre la porte de bois verni, on pouvait entendre un petit poste de radio aux basses fuyantes diffuser chez elle de vieux standard usés par tant et tant de passages à la radio et à la télévision.<br /> <br /> La particularité de cet appartement était qu' il était le seul de l' immeuble à ne pas avoir de voisin en face de lui. C' était un escalier à la rambarde lustrée que la concierge pouvait voir si par curiosité elle jetait un oeil par le judas et auquel les luminaires muraux donnaient un charme tout particulier, celui des vieux immeubles cossus de la capitale et qui malgré des décennies d' existence ne semblent pas vouloir plier sous les années. Une rambarde que Madame Perez, la concierge, se donnait du mal chaque jour à maintenir en l' état tout comme les tapis de sol qu 'elle nettoyait avec amour sans oublier bien sûr les nombreuses marches qui menaient jusqu'au paradis et qui, malgré sa bonne volonté finissaient par craquer, irrémédiablement, ce qui conférait à l' ensemble un cachet que d' aucun aurait pu juger de séduisant...
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